Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/142

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ma faveur ; vous m’avez trop accoûtumé à eſtre mal-heureux, pour me laiſſer prendre des eſperances.

Vous m’offenſez, luy dit-elle, par ces ſouvenirs que vous voulez que j’aye, cependant je veux bien vous répondre precisément ſur le reſte ; vous avez d’ailleurs aſſez merité que je m’expliquaſſe avec vous ſans détour ; & puiſque je ne ſçaurois me diſpenſer