Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/148

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

qu’il craignoit de la perdre ; tout ce qui pouvoit la juſtifier luy venoit dans la pensée, comme tout ce qui pouvoit la rendre coupable, s’y eſtoit autrefois preſenté ; la bizarrerie d’épouſer d’Amboiſe dans le temps qu’elle devoit épouſer Sancerre, ſi elle l’eût aimé, le mettoit hors de meſure, & luy faiſoit croire tout poſſible, juſqu’à n’avoir point eſté trahy. Il s’accuſoit déja d’avoir