Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/165

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obligeante ; je m’oppoſe à voſtre Mariage, par le droit que m’ont donné ſur vous vos premiers ſentimens ; & s’il vous en reſte quelque choſe, je vous aime aſſez, pour pouvoir pretendre de les rappeller tous. Vous croyiez autrefois que nous eſtions nez l’un pour l’autre ; pourquoy nous ſeparer, quand je vous aime encore ? Ha !