Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/169

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s’apperceut de ſa froideur & de ſon chagrin ; elle luy en demanda la cauſe d’une maniere qui devoit le raſſeurer, mais ſes amitiez luy devenoient ſuſpectes, ou pluſtoſt il luy ſembloit qu’il n’en joüiſſoit que par ſurpriſe ; il fut pluſieurs fois ſur le point de luy montrer la Lettre de Sanſac, pour n’avoir plus à douter du mal-heur qu’il apprehendoit, & pour ſe faire s’il ſe pouvoit là-deſſus un