Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/177

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

me d’Amboiſe eſtoit digne d’une eſtime infinie, & que s’il n’avoit pû toucher ſon cœur, il faloit en mourir ſans ſe plaindre d’elle ; il ſentit qu’il n’avoit que peu de jours à vivre, & il reſolut de ne luy parler point des Lettres qui luy donnoient la mort, de peur de luy marquer de la jalouſie, & de luy oſter peut-eſtre par là la liberté de ſuivre ſon inclination quand il ne ſeroit plus. Cét effort