Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/188

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gret ; mais enfin vos premiers ſentimens ont eſté pour Sanſac, je ne ſuis point injuſte ny Tyran, c’eſt beaucoup pour moy que d’avoir pû les éteindre un moment durant ma vie, ils ſe rallumeront apres ma mort ; je n’en murmure pas, ne leur oppoſez point ma memoire, vous ſçavez que tant que je l’ay pû, j’ay preferé voſtre bonheur au mien, & j’enviſage avec quelque ſorte