Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/21

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rite ; enfin c’eſt mon indifference pour luy, qui a donné lieu à voſtre pitié ; tout vous devient un poiſon, je n’oſe rien entreprendre, & apres avoir fait tous vos chagrins, j’ay la douleur de ne pouvoir vous en tirer ; vous ne devez plus avoir d’amitié pour moy ; vous me regardez comme une Rivalle, peut-eſtre vous me haïſſez. Non, interrompit Mademoiſelle de Roye, c’eſt d’Amboiſe qu’il faut haïr,