Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/227

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

pas un grand ſujet de s’en plaindre ; elle crût qu’elle s’eſtoit démentie trop aisément & trop toſt ; & que lors qu’il feroit des retours ſur cette conduite, il auroit moins d’eſtime pour elle que d’amour cette pensée la chagrina, elle ſe dit meſme qu’un Mary comme celuy qu’elle avoit eu, meritoit une femme capable de grands ſentimens & de fermeté ; qu’enfin le plaiſir de pen-