Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/31

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

comprit une partie de ce qui s’eſtoit paſſé ; elle n’avoit rien à luy répondre, & il n’eſtoit pas temps de juſtifier ſon intention, quand elle eſtoit coupable par de ſi triſtes effets ; tout ce qu’elle pouvoit faire, eſtoit de l’aſſeurer qu’il ſeroit aisé de deſabuſer le Comte de la penſée d’eſtre aimé, mais le remede n’étoit point encore du gouſt de Mademoiſelle de Sanſac : Non, dit-elle, qu’il le ſçache, & je ne le verray