Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/58

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

avoit crû long-temps n’eſtre que ſon Amy ; qu’en ſuite il luy avoit déguisé ſes veritables ſentimens à la faveur de ce nom, & qu’enfin il ne pouvoit plus s’empeſcher de les luy faire connoiſtre. Sanſac le leut avec le meſme chagrin, que ſi en apprenant l’amour du Comte il eût appris qu’il eſtoit aimé.

Cette femme rentra dans la Chambre, lors qu’elle jugea qu’il auroit