Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/75

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derniere colere contre luy, & de les empeſcher autant qu’elle pourroit de s’éclaircir, enfin de rejetter la méprife des rubans ſur les femmes qui les ſervoient, ſi l’on en venoit à l’éclairciſfement. Cependant elle trouvoit elle-mefme l’artifice groſſier, & elle en eſperoit peu de choſe ; mais elle avoit commencé à ſemer la meſintelligence entre eux, il faloit hazarder tout ce qui pou-