Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/117

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plus grand effort de mon amour, eſt-il dû à la plus cruelle preuve de vôtre indifference ? Vous pouvez me refuſer, luy dit triſtement Mademoiſelle de Roye. Eh ! Puis-je vous déſobéïr, lui dit-il en ſe levant, vôtre cœur ne conſent point à mon bonheur, en voudrois-je malgré lui ? Mais du moins, Mademoiſelle, jugez de l’excés de ma tendreſſe, par ce qu’elle me fait faire contre moy.