Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/141

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pouvoit cacher ſes pleurs ; & vous ſçaurez bien-toſt ce qui l’a causé. Je ne le ſçais peut-eſtre déja que trop, lui dit-il, Mademoiſelle, & j’oſe dire que je ſens plus encore les maux que vous ſentez, que je n’ay jamais ſenty tous ceux que vous m’avez faits. Que vôtre honneſteté m’eſt cruëlle, lui dit Mademoiſelle de Roye, que ſon chagrin faiſoit parler ! Cachez-la moy par pitié, afin que je con-