Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/169

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noître qu’il eſtoit aimé ; il le comprit en partie par les choſes qu’elle laiſſoit échaper, & plus encore par celles qu’elle évitoit de lui dire.

Le Marquis de Sanſac apprit à ſon pere le changement favorable pour lui qui s’étoit fait dans l’eſprit de Madame de Roye, mais il ne le trouva plus dans les mêmes diſpoſitions pour ſon alliance. Le refus qu’elle avoit fait de ſon fils, l’avoit irrité au