Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/188

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mande pardon. Je vous aime, je vous aimeray toute ma vie. Je n’ay pû eſtre le maiſtre de ne vous point parler une fois de Sanſac, mais je ne vous en parleray plus. Je vous reſpecte aſſez pour reſpecter méme voſtre paſſion. Je me contraindray ſans ceſſe & je ne vous entretiendray jamais de la mienne. Mais la ſeule grace que je vous demande, c’eſt que vous me regardiez comme quelque choſe de plus