Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/28

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

faires, elle fut bien aiſe que la promenade les amuſât durant le temps qu’elle ſeroit obligée d’y donner. Elles avoient déja atteint le bout d’une allée où eſtoit un cabinet ouvert de tous coſtez, fort agreable, & dans lequel elles alloient entrer pour s’aſſeoir, lors qu’elles apperçeurent un Cavalier qui mettant pied à terre, laiſſa ſes gens derriere luy, & s’avança vers elles. À meſure qu’il s’apro-