Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/32

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dans une ſi grande retraite, qu’on n’avoit encore oſé la troubler ; cependant aprés un an de veuvage, il crût qu’elle ne feroit pas de difficulté de le recevoir.

Il s’approcha de ces Dames, & quoy qu’il n’en connût aucune, il leur dit tout ce que la politeſſe & la galanterie luy inſpirèrent en cette rencontre, mais il diſtingua d’abord Mademoiſelle de Roye des autres. Auſſi quoi