Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/38

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aidoit encore à la rendre favorable à celuy qui luy en faiſoit connoître le pouvoir. Ils avoient déja eſté une heure dans ce Cabinet, lors qu’une groſſe pluye les y tint aſſiegez. Perſonne n’en fut fâché, la converſation eſtoit ſi brillante, qu’il ne leur étoit pas poſſible de ſonger au temps qu’ils y demeuroient. Monſieur de Sanſac avoit un agrément infiny dans ſa perſonne, & dans tout ce qu’il diſoit,