Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/84

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Roye ſe trouvaſt engagée par les prieres qu’il luy feroit, ou par ſon propre intereſt, de luy avouër une choſe dont le ſoupçon luy eſtoit déja ſi funeſte, que la certitude ne pouvoit l’eſtre davantage. Si Mademoiſelle de Roye eſtoit prevenuë d’une autre inclination, il valoit mieux qu’il en fuſt une fois perſuadé, que de le craindre toujours. Cependant il eut des occaſions de s’en inſtruire, mais il n’avoit