Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/97

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ſembla que le devoir ſuppléroit aux mouvemens de ſon cœur.

Un jour que la triſteſſe du Comte d’Amboiſe étoit extraordinaire, elle luy dit plus de choſes obligeantes qu’elle ne luy en avoit jamais dit, mais elles ne firent que redoubler le chagrin de cét Amant. Eh ! Mademoiſelle, lui dit-il, ne vous contraignez point ; ces dehors étudiez ne me rendent pas moins à plain-