Page:Bersaucourt – Notules, 1908.djvu/25

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

quelqu’un, nous nous empressons de nous fâcher avec lui.



Il est remarquable que l’on parle assez gaiement de la mort. C’est que nous pensons toujours à celle du prochain et jamais à la nôtre.



Ne dites pas à un musicien qui se targue d’être poète : « Mon cher, votre musique est excellente et vos vers détestables. » Nous mettons généralement nos prétentions là où nous sommes médiocres.