Page:Bersaucourt – Notules, 1908.djvu/39

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gens favorisés par la fortune sont deux fois malheureux.



On aime d’abord les femmes pour elles ; ensuite on les aime pour soi.



Souvent le mérite des athées bat en brèche la vertu des gens religieux.



Nous faisons servir les femmes à notre vanité et à nos vices. Nous avons tort par conséquent de nous étonner qu’elles développent chez elles les défauts qui peuvent nous conquérir.