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Page:Berthelot - Les origines de l'alchimie, 1885.djvu/24

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XVI
LES ORIGINES DE L'ALCHIMIE

mant des recettes pour la transmutation et pour la teinture en pourpre ;

Une notice sur les papyrus du Louvre et de Berlin, rapprochés des textes de nos manuscrits ;

Le texte et la traduction de l’article du pseudo-Démocrite sur la teinture en pourpre ;

Une vieille recette pour doubler le poids de l’argent, tirée de nos manuscrits ; l’énigme sibyllin ; la liste alchimique des métaux.

J’ai donné aussi une analyse détaillée des principaux Manuscrits de Paris et de Venise, sur lesquels je m’appuie ; analyse qui rendra les vérifications plus faciles. Elle pourra être utile aux personnes qui voudraient comparer ces manuscrits avec ceux des autres Bibliothèques d’Europe.

Des Index très étendus, relatifs aux lieux, aux faits, aux personnes et aux mots, rendront, je l’espère, service aux savants qui consulteront le présent ouvrage. Ils m’ont coûté beaucoup de temps et de peine.

Enfin, deux planches exécutées en photogravure reproduisent, l’une la Chrysopée de Cléopâtre, avec ses formules magiques ; l’autre, les symboles alchimiques des métaux : le tout d’après le manuscrit de saint Marc.

Un mot en terminant : mon travail achevé ne me laissait pas sans quelque inquiétude sur les conditions de sa publication, lorsque j’ai eu la bonne fortune de