Aller au contenu

Page:Bertheroy - La Couronne d epines.pdf/309

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
296
LA COURONNE D’ÉPINES

de son sang pur, dans les tressaillements de sa chair ardente. Alors elle croisa ses bras sur sa poitrine, et, comme elle l’avait déjà fait avant d’avoir eu la révélation sensible de l’amour, elle répondit à l’Ange, caché dans les vapeurs errantes du soir : « Je suis la servante de l’Époux ; qu’il me soit fait selon votre parole. »


7916. – Corbeil. Imprimerie Crété.