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Page:Berthou - Dre an delen hag ar c horn-boud.djvu/209

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De la Bretagne, — Pays de ton berceau, — Jusqu’à la mort, — Le nom sera sur la lèvre. — Par le Français maudit, — Alors même que tu serais martyrisé, — Tu crieras encore : Bretagne à jamais !

À toi je chanterai — Les Morts, — Aux noms illustres : — Ce n’est pas uniquement de lait que tu seras nourri. — Sois le plus grand des Bretons, — L’épouvante de l’Étranger, — Grandis pour la lutte.