Page:Berthou - Dre an delen hag ar c horn-boud.djvu/213

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tagne est relevée. — Elle n’obéit plus qu’à son unique roi :

Noménoé.

Ô Grand Roi ! — Roi sans égal ! — Il n’est que juste que tu vives dans la gloire. — Ô père de notre nationalité ! — À toi toute notre reconnaissance ! — Vois tes fils désormais unis,

Noménoé.

L’heure du réveil est sonnée, — Mais puisque tu ne peux plus être le maître, nul autre ne le sera. — Or pour que tu sois encore avec nous, — Nous t’élèverons une statue colossale — Et nous la monterons sur une montagne,

Noménoé.