Page:Bertrand, Gaspard de la nuit, 1920.djvu/119

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Mémoires d’Olivier de la Marche.

La bataille durait depuis none, quand ceux de Bruges lâchèrent le pied et tournèrent le dos. Il y eut alors, d’une part si épais désarroi, et de l’autre si rude poursuite, qu’au passage du pont bon nombre de révoltés croulèrent pêle-mêle, hommes, étendards, chariots, dans la rivière.

Le