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Page:Bertrand, Gaspard de la nuit, 1920.djvu/133

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le sautillement du rosaire d’un moine qui s’esquivait par un corridor, et le râle de la crécelle des veilleurs qui, le soir, acheminaient d’une galerie ces mornes reclus à leurs cellules.

Les Chroniques

VIII

À UN BIBLIOPHILE.

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