Page:Bertrand, Gaspard de la nuit, 1920.djvu/150

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se séparant jamais plus de sa carabine que Dona Inès de la bague du bien aimé ! Chanson espagnole.

La Posada [1], un paon sur son toit, allumait ses vitres à l’incendie lointain du soleil couchant, et le sentier serpentait lumineux dans la montagne.

  • *

« Chut ! n’avez-vous rien entendu, vous autres ? demanda un des guérillas, collant son oreille à