Page:Bertrand - Gaspard de la nuit, éd. Asselineau, 1868.djvu/232

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Que vois-je remuer autour de ce gibet ? FAUST.

Ah ! ce que j’entends, serait-ce la bise nocturne qui glapit, ou le pendu qui pousse un soupir sur la fourche patibulaire ?

Serait-ce quelque grillon qui chante tapi dans la mousse et le lierre stérile dont par pitié se chausse le bois ?