Page:Bertrand - Mémoires historiques et physiques sur les tremblemens de terre.djvu/94

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

À Zuric il fut apperçu à la même heure ; mais foiblement.

À Roggweil près d’Arbon, à Arbon même, à Maschweilen, des murs épais furent fendus.

À huit heures du matin, le même jour, de nouvelles secousses à St. Gall. La veille on y avoit eu un vent du Sud puant, accompagné de poussière. Après le tremblement, pluye violente, vent Sud-Ouest, l’air étoit chaud.

À Zuric, le dix & neuvième, le baromètre étoit à vingt & six pouces cinq lignes & un quart, & le vingtième, à vingt & six pouces trois lignes.

Le vingt & sixième Février de cette même année, à sept heures & demi du matin, la terre avoit aussi tremblé à Eglisau.

Le dix-huitième Octobre, on avoit senti, dans le Comté de Neufchâtel, une secousse de tremblement de terre, pen-

-dant