Page:Bethléem - Romans à lire et romans à proscrire, 7e éd.djvu/358

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ger : Mon petit Trott, La sœur du petit Trott, Line, Portraits de jeunes filles. — de Lys : Le logis.

Malot : La petite sœur, Le lieutenant Bonnet. — Marlitt : La seconde femme. — Margueritte : Le jardin du roi, Le prisme, Poum, Zette. — Maupassant : Contes de Maupassant.

Ohnet : Le Maître de forges, Serge Panine, La grande Marnière.

Pène : Trop belle. — Pouvillon : Les Antibel, Mlle Clémence. — Pravieux : Un vieux célibataire.

Rod : Mlle Annette. — Rodenbach : Bruges la Morte. — Rosny : Les retours du cœur, L’aiguille d’or, Les fiançailles d’Yvonne.

Saintine : Picciola. — Sand : La Mare au diable, La petite Fadette, François le Champi. — Sandeau : La maison de Pénarvan, Mlle de la Seiglière, Catherine, Madeleine, Jean de Thommeray, etc. — Sienkiewicz : Par le fer et par le feu, Quo Vadis (édition Lethielleux).

Thiéry : Le roman d’un vieux garçon. — Tinseau : Sur le seuil, La valise diplomatique. Ma cousine Pot-au-Feu, L’attelage de la marquise, La meilleure part, Charme rompu.




IV. Pour les grandes personnes friandes d’émotions ou au moins de sain réalisme




Dans la pensée de leurs auteurs, beaucoup de ces romans n’ont guère d’autre but que de flatter les goûts de la foule, c’est-à-dire sa sensibilité mobile et excessive, son besoin de sensations neuves et violentes, sa prédilection pour les intrigues extraordinaires, compliquées,