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De son roi le vœu pacifique
L’éloignant du sein des combats,
Pour le bien de la république,
Il paraît en d’autres climats :
Se transportant de plage en plage,
Notre héros devient un sage,
Et fonde de nouveaux états.
Ce grand homme comblé de gloire,
Iberville était Canadien ;
Mais pour honorer sa mémoire,
Son pays encore n’a fait rien :
De ses bienfaits reconnaissante
Ailleurs une ville naissante
A pris son nom et le retient.[1]
- ↑ Depuis la publication de cette poésie un comté de la province de Québec a pris le nom d’Iberville.