Page:Billaud - Frissons, 1874.djvu/64

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Cheveux de mon enfant, beaux cheveux d’une morte,
Venez près de ma bouche, ô boucles ! chers cheveux,
Dont la vague senteur tristement me reporte
Au jour où le destin lui ferma ses grands yeux ;
Cheveux de mon enfant, beaux cheveux d’une morte ! .