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la poésie de la vieillesse
Le soir, par le soleil qui penche,
Dans les bois, sous la verte branche,
Ou dans la ville, au bruit des chars,
Il honore les grands vieillards
Dont l’âme haute est toute blanche,
Avec du ciel dans leurs regards.
le coryphée
Victor Hugo, sommet que dore l’espérance !
le chœur
Gloire à Victor Hugo !
la pitié
Il dit, plein de pitié suprême,
À tout ce qui souffre « Je t’aime ! »
Fraternité, c’est le devoir ;
Et dans l’abîme le plus noir,
Au martyr, au bourreau lui-même,
Il apporte un rayon d’espoir.