— Ami. Vite, ouvre-moi la porte, Poulette. »
La Poulette ouvrit donc vite la porte. Elle avait reconnu la voix de la Petite Oie.
— « Poulette, referme vite, de peur du Loup. Tout à l’heure, il est venu chez moi, et il a brisé la porte de mon étable, d’un grand coup de cul. »
La Poulette n’eut que le temps de refermer.
— « Pan ! pan !
— Qui est là ?
— Ami. Vite, ouvre-moi la porte, Poulette. »
Mais la Poulette avait reconnu la voix du Loup.
— « Non, Loup, je ne t’ouvrirai pas la porte. Tu me mangerais.
— Poulette, je te dis que non.
— Loup, je te dis que si.
— Poulette, si tu ne m’ouvres pas vite la porte, je démolis ton étable. »
La Poulette ne répondit plus.
Alors, le Loup brisa la porte, d’un grand coup de cul.
Mais la Petite Oie et la Poulette prirent aussitôt leur volée, et s’en allèrent trouver le Chat.
— « Pan ! pan !
— Qui est là ?
— Amis. Vite, ouvre-nous la porte, Chat. »
Le Chat ouvrit donc vite la porte. Il avait reconnu les voix de la Petite Oie et de la Poulette.