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Page:Blanc de Saint-Bonnet - Restauration française.djvu/30

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En dehors de l’infini, i) y a notre liberté. Bien qa’ettc ait un commencement, elle n’pose sur la grande toi il faut qu’elle soit par ette.mèMC.. Sa première mise de fonds lui est retirée tous les jours, afin que son moi lui soit propre.

La liberté est l’enfant de l’elfort, ou de la douleur It, bont~ar est pour la substance parfaite[1] . Cette vérité éclatera visiblement dans l’époque qui commence. Elle sortira comme la voix de tous les faits. Les mots e~M’<, </<w~ et liberté, décomposent eux-mêmes le sens de ce mot TttAYA<L, notifié par les événements.

L’avenir ne sera point comme on l’entend. L’homme n’est pas entreposé sur la terre pour jouir, mais pour grandir. L’Infini nous a envoyé l’existence ; d’eternettes lois s’accomplissent ici-bas.

Pour que le monde ait un avenir, il faut que le christianisme ne soit plus seulement dans quelques âmes, mais qu’it éclate et sur les lois et dans les meeurs. La production et la consommation deviendront un mode chrétien. Car aucune des deux n’est le but. Ici-bas, tout n’est que moyens pour préparer des âmes à t’tnfini.

Le Globe fournira quelques richesses de plus : jamais dans la proportion des besoins. La répartition no fera pas ce qu’on attend. Elle satisfera moins les intérêts que la justice. Au reste, la population, croissant selon les subsistances, viendra éterncttement se presser vers leurs limites extrêmes. Toujours on verra la misère elle ne peut être restreinte que par la vertu.

  1. J~us-Chwt n’a fa’ été une seule heure dans N’ vie sana Mutfrir de la douleur : e’O y avait Mn m<i))eu)- Mtoyeo pour t’homu : e, Dieu nous t’aurait Mnodonte appris. toTATto.t XB J.-c.