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iii

ATELIERS OU L’ON AIME


Ateliers pour la frime. — La patronne procure des professionnelles déguisées en ouvrières. — Marchandes de couronnes qui procurent des petites filles mineures. — Fleurs artificielles et plumes pour messieurs.

L’ancienne « ganterie » ou « parfumerie » située généralement dans un passage ou dans une petite rue discrète et où l’on trouvait de l’amour pour cent sous, a vécu.

Les femmes faisant ce métier étaient trop exposées aux perquisitions policières à la suite de plaintes de certains passants auxquels, sans savoir à qui elles avaient affaire, les femmes en question faisaient des signes à travers les carreaux de leur boutique.

C’est « l’atelier où l’on aime » qui est aujourd’hui à la mode à Paris.

La patronne, pour ceux qui ne connaissent pas à fond son entreprise, est une couturière ou une