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Maisons de Plaisir
Certaines prostituées clandestines, se rappelant le succès de la fameuse Florina, rue de la Lune, qui était arrivée à monter une « maison » extrêmement bien achalandée, en la faisant passer pendant de longues années pour un atelier de fleurs artificielles, employant des ouvrières pas bégueules, se servent du même « truc » sur une échelle plus modeste.
Il y a en ce moment, dans différents quartiers de Paris, un nombre considérable de « boîtes » où le faux commerce des fleurs artificielles s’allie à l’industrie des plumes… de fantaisie, à l’usage des messieurs à passions.
