cochons et de lancer le reliquat de son tonnerre sur les purs et sur les martyrs.
Les bourgeois, d’ailleurs, sont trop adorables pour n’être pas devenus eux-mêmes des Dieux. C’est à eux qu’il convient de demander, à eux seuls. Tous les impératifs leur appartiennent et on peut être certain que le jour où ils demanderont trop sera précisément le jour même où ils commenceront à s’apercevoir qu’ils ne demandent pas tout à fait assez…
— Moi, je demande vos peaux, sales canailles ! leur dira Quelqu’un.
II
Rien n’est absolu.
Corollaire du précédent. La plupart des hommes de ma génération ont entendu cela toute leur enfance. Chaque fois qu’ivres de dégoût nous cherchâmes un tremplin pour nous évader en bondissant et en vomissant, le Bourgeois nous apparut, armé de ce foudre.
Nécessairement, alors, il nous fallait réintégrer le profitable Relatif et la sage Ordure.
Presque tous, il est vrai, s’y acclimatèrent, par