Aller au contenu

Page:Bloy - Je m'accuse, La Maison d'Art, 1900.djvu/55

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

c’est un vieux portrait de jeune fille, souvent épousseté ! Remarqué aussi une petite dévote « en marche déjà pour toutes les folies, communiant encore, mais professant le péché, se familiarisant, chaque jour, avec l’idée de la faute ». Courage, cochonne ! Émile te regarde.


24. — Bonne page du Crétin. « Cherchez donc dans le Nouveau Testament le « Croissez et multipliez et remplissez la terre » de la Genèse ? Jésus n’a ni patrie ; ni propriété, ni profession (!!!!!), ni famille, ni femme, ni enfant. Il est l’Infécondité même. » Voilà donc où il voulait en venir. l’infécondité de jésus ! Idiote crapule.


25. — Le Crétin nous explique enfin, enfin ! sa personnelle infécondité. Cela commençait à devenir un peu rigolo, si j’ose le dire, l’obstination de ce romancier hongre à pétarder contre l’infertilité contemporaine des reins et des utérus.

Voici : « Vous ne pouvez nier, mon cher monsieur, que les plus forts, les plus intelligents, sont les moins féconds. Dès que le cer-