gloire de cette merveille est un hommage au grand ingénieur américain.
e m’aperçois que je n’ai pas encore parlé des trésors cachés et ce n’est certes pas le plus petit endroit de cette caverne lumineuse qu’était l’imagination de Villiers.
Ceux qui le voyaient souvent — amis ou ennemis, hélas ! — savent qu’il parlait volontiers d’un trésor ou d’un amas de trésors immobilisés, inutilisés, sommeillant depuis des générations, dans on ne savait quelle crypte ancestrale et qu’il espérait retrouver un jour, levier puissant dont il prétendait soulever le monde.
« Indifférent aux soucis politiques de ce siècle et de cette patrie, aux forfaits passagers de ceux qui les représentent, je m’attarde quand les soirs du solennel automne enflamment la cime rouillée des environnantes forêts. Parmi les resplendissements