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un brelan d’excommuniés

teurs certifient suffisantes, ont remplacé, du même coup, la détestation surannée du mal par l’unique horreur de ce miroir de leur misère que tout postulateur d’idéal leur présente implacablement.


Ils s’effarouchent du Beau comme d’une tentation de péché, comme du Péché même, et l’audace du génie les épouvante à l’égal d’une gesticulation de Lucifer. Ils font consister leur dévote sagesse à exorciser le sublime.


On parle de critique, mais le flair de leur aversion pour l’Art est la plus sûre de toutes les diagnoses ! S’il pouvait exister quelque incertitude sur un chef-d’œuvre, il suffirait de le leur montrer pour qu’ils le glorifiassent aussitôt de leurs malédictions infaillibles.


En revanche, de quelles amoureuses caresses