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Page:Bodin - Le Roman de l’avenir.djvu/217

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— Grand merci, dit Philirène en souriant. Mais je vous avoue qu’au total j’ai encore sacrifié bien peu de chose.

— Je le savais bien, dit Eupistos.

La conversation prenant une tournure plus vive et plus conforme à l’extrême mobilité d’idées de Philirène, les deux amis ont parlé successivement de sciences, d’arts, de littérature, et puis se sont mis à improviser de la musique que mes lectrices auraient de beaucoup préférée à l’ennuyeuse conversation dont ce chapitre est rempli. J’ai oublié de les en prévenir ; et peut-être auront-elles suppléé à l’avertissement. Mais je leur jure que ce chapitre est le dernier où il y aura du rabâchage philosophique.