Page:Boethius - Consolation 1865.djvu/475

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NOTES DU LlVRÉ V. SSI

Nora 9. PAGE *293.

TOM ! ce que je (Iil’(lIi.w2I’a OIL ne Srifa pds. ’ •

Paroles amliigues qu’l-lorac<· fait adresser par le devin Tirésias à U1) sse qui, dans sa détresse, le consultait sur les mo) ens de rétablir sa fortune. (Liv. U, Sal. V, v. 59.)

Boèce attribue à cette ré onse le sens ine te n’au remier examen P P (I P

elle paraît av oir, le seul, selon Bentley (Comment. in Harat.), qu’il soit possible d’en tirer. Turnèlwe et Torrentius, pourtant, expliquent cette phrase d’une façon moins déraisonnable, et conformément à cette glose, que l’on trouve en marge de quelques anciens manuscrits : ce Quidquid dicam, aut erit, si dixero fore ; aut non, si dixero non fore. un C’est-adire ; « Les événements dont jc vais Uentretenir arriveront si je dis qu’ils doivent arriver ; ils n’arriveront pas si je dis qu’ils 116 doivent pas ar-1’i\’€i’. ¤>

Du reste, cette plaisanterie est parfaitement appropriée au ton général de la pièce où Horace se la permet.

i\ propos de ce passage de lloecc, qu’il eite par occasion, Bentley émet une conjecture dont nous avons fait notre profit, c’est que, dans lr texte latin, le mot dyfurt doit être substitué au mot refert qu’on trouve dans presque toutes les éditions, et qui, en cet endroit, n’a pas de sens. Nora ·lO. PAGE 293.

Pour uoi es érer ourt uoi rier en effet si tous les a s a

objets de nos vœux sont soumis à un ordre a’évt=· »t-m€mS irrévocablement fixé P

C’est le mot désolant de la siliylle (le Virgile : Desiuc (ata deum fleeti sperare precando. (zEneid, liv. VI, V. 376.)

xt Henonce à llespoir de Iléchir le destin par des prières. n Nou ; ll. PAGE 295.

La vérité SC CHCh€., et— HOUS voulons SUYPI’(¥lldl’B Le regard qu’elle voile et le mot qu’elle tait. (le passage, dans ]“loi*ee, est une imitation ou plutôt une traduction fidèle de ces lignes du Mdzmn ;

Km}. tivot ·cpu-n0·i § ·n-c·Àr : et ;, È) SzLw.p011s :, ·toù9’ 5 pri] oioûu tè vtœpdmmv il tt Ecru ; ttoïov vcep tîw 001. oloôu. TEDOGÉQEVOQ l·, q·:·ha·:1. ; ; É zi md. En u-l)m-r’ à-J:·J· loc ; œltqî, mh ; simu., 617 : ·: où·c’ âmriv ô où oim ·§ E·ry : lm ; Et comment t’y prentlras-tu, Socrate, pour chercher ce que tu ne