Aller au contenu

Page:Bogaerts - Pensées et maximes.djvu/107

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

troubler le bonheur du sage, ni les flots de l’infortune, ni l’approche de la dernière heure qui doit sonner pour lui.


Si nous songions un peu plus avant d’accomplir une action, il nous faudrait songer bien moins après.


À quoi sert la sagesse ? à nous mener avec résignation et fermeté à travers les adversités qu’elle n’a pu nous faire éviter.