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Page:Bogaerts - Pensées et maximes.djvu/99

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au monde ce qu’ils importent à Dieu quand il crée le poète.


Ne voir dans les événements de ce monde que des combinaisons humaines et n’y reconnaître nulle part le doigt de Dieu, c’est être myope au point de ne discerner que de près et les uns après les autres les détails d’un cadre immense, sans pouvoir les embrasser à la fois d’un seul coup d’œil.


Les récompenses ne sont dues qu’à celui qui, dans l’intérêt de ses frères, a plus fait que ne l’exigeait son devoir.