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Page:Bois - L’Au delà et les forces inconnues.djvu/162

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L’AU DELÀ ET LES FORCES INCONNUES

tole France, il se rencontre avec lui, dans le doute en face des grands problèmes mystiques. M. Jules Lemaitre est, en effet, un des rares qui n’admettent guère la télépathie. Autant il est mal porté — et à juste titre, — d’être spirite fanatique, autant il est à la mode de faire les yeux doux à la télépathie. Voilà enfin un merveilleux de bon ton. N’importe, M. Jules Lemaitre n’a pas voulu donner dans ce snobisme, car ce serait pour lui un snobisme seulement, puisqu’il n’a aucun goût pour les hallucinations véridiques ou non.

Voici telle quelle, écrite de sa main, son opinion. Je la transmets à mes lecteurs.


« Vous savez que, depuis quelques années, M. Jules Bois s’est fait, de l’occultisme, une agréable, et piquante a spécialité. » En jolies phrases très « écrites », il avertit les « belles madames » qu’il y a « entre ciel et terre, » selon le mot de Shakespeare, « plus de choses que n’en peut comprendre notre philosophie. » Il leur développe avec suavité les rites obscènes et sanglants de la messe noire et les diverses façons de faire apparaître le diable. Ce jeune Pho-