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ACTE III.
Scène I.
LE BARON, LE MARQUIS.
Le Baron.
Le Forlis par bonheur fait la méridienne :
Je respire… Entre nous, son amitié me gêne…
Sa fille doit parler à l’objet de vos feux.
Le Marquis.
Je vous suis obligé de vos soins généreux.
Le Baron.
L’affaire est en bon train.
Le Marquis.
À me flatter, monsieur, d’une douce espérance.
Le Baron.
Je suis charmé de voir que vous pensiez ainsi.
Le Marquis.
La joie enfin succède au plus affreux souci.
Je ne puis exprimer le plaisir que je goûte :
On n’imagine point jusqu’où va…
Le Baron.
Je m’en doute.