Cette page a été validée par deux contributeurs.
— Oui, fit mon père.
— Sa demeure ?
— Je ne sais. »
« Moi qui vous avois vu l’embrasser…
— Ce jour où, pour la première fois, je t’embrassai toi-même…
— Et où vous avez cassé ma cruche… Je dis que j’avois vu le neveu de M. de Beauvoisin en compagnie avec une personne qu’il appeloit du nom de Nostredame. Là dessus, Zacharie a dit qu’il s’informeroit auprès de votre oncle, ayant une lettre à remettre au médecin de Montpellier…
— Ensuite, ma Laurette ?
— Comment ensuite ?… Mais, n’est-ce pas assez ! Vous aimez cet homme, puisque vous l’abordez comme un bon frère… Voulez-vous que je reste étrangère au mal que l’on feroit à quelqu’un que vous aimez ?
— Charmante enfant ! un baiser pour ton humanité.